Tous les types d’industrie sont représentés et, en dépit de la technologie avancée aujourd’hui disponible, la majeure partie du travail est encore effectuée par une main d’oeuvre humaine.
Le travail est dur et mal payé, mais le besoin d’argent veille à ce que tous les postes soient pourvus.
La course au profit des mégacorporations conduit ces industries à tourner vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Dans les tunnels souterrains, engins à vapeur et moteur diesel relient les zones industrielles aux astroports.
Là, les gigantesques vaisseaux de transport embarquent continuellement de nouveaux produits à destination de tout le système.
La pollution ambiante et le ronronnement incessant des machines font de cet endroit un véritable enfer.
Malgré tout, les gens vivent dans le brouillard et le désespoir.
Certains ouvriers ne quittent jamais leur poste et ne prennent du repos qu’entre les changements d’équipe.
Peu apprécient leur travail et la plupart rêvent d’un monde différent, d’une existence différente, peut être dans la finance, dans l’armée, dans l’illégalité ou même dans la communion avec la Symétrie Obscure.
Seule la croyance en un avenir meilleur et la foi en la Confrérie empêchent les citoyens des quartiers industriels de sombrer dans un désespoir total.